“It ain’t Necessarily So”: In the Globalisation of Linguistic Theories a Valid Issue?
Dans cet article, je souhaite montrer que faire l’histoire des idées revient à rapprocher des points de vue, engage à ne pas aborder l’histoire de la linguistique sans précautions. L’augmentation exponentielle des sources, le bourgeonnement des médias, la citoyenneté numérique et ses limites, l’ouve...
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Format: | Article |
Language: | English |
Published: |
Presses Universitaires du Midi
2008-12-01
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Series: | Anglophonia |
Subjects: | |
Online Access: | https://journals.openedition.org/acs/12304 |
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Summary: | Dans cet article, je souhaite montrer que faire l’histoire des idées revient à rapprocher des points de vue, engage à ne pas aborder l’histoire de la linguistique sans précautions. L’augmentation exponentielle des sources, le bourgeonnement des médias, la citoyenneté numérique et ses limites, l’ouverture de l’arène scientifique à toutes les traditions et les cultures, les entraves à la gestion des données, sont autant de facteurs qui provoquent la confusion, conduisent à ce que la simplification soit érigée en vertu ou à ce que soient oubliées des pentes douces et les ruptures tranquilles. A travers trois exemples de ce qu’il pourrait être utile de nommer la « globalisation » des idées linguistiques (Port-Royal et son influence, le débat sur l’origine des structuralismes et la traduction de concepts nés dans une autre langue, le français dans le cas des théories de l’énonciation), je propose quelques repères méthodologiques destinés à un meilleur usage et une intégration harmonieuse de l’histoire des idées aux débats contemporains de la linguistique. |
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ISSN: | 1278-3331 2427-0466 |