The Town and the City in Charles Williams's Fiction
Charles Williams n'est pas très connu en France. Il a pourtant eu son heure de gloire entre les deux guerres, comme ami de C.S. Lewis, de Tolkien, de Dorothy Sayers et comme membre du célèbre groupe des "Inklings" d'Oxford. Poète, dramaturge, romancier, auteur de nombreux essais,...
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Format: | Article |
Language: | English |
Published: |
Presses Universitaires du Midi
2009-12-01
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Series: | Anglophonia |
Subjects: | |
Online Access: | https://journals.openedition.org/acs/1606 |
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Summary: | Charles Williams n'est pas très connu en France. Il a pourtant eu son heure de gloire entre les deux guerres, comme ami de C.S. Lewis, de Tolkien, de Dorothy Sayers et comme membre du célèbre groupe des "Inklings" d'Oxford. Poète, dramaturge, romancier, auteur de nombreux essais, il a longtemps été l'objet d'un culte fervent de la part d'un groupe restreint de fidèles admirateurs. L'objet de cette communication est d'explorer le rôle de la ville dans ses œuvres de fiction, plus particulièrement dans Shadows of Ecstasy, Descent into Hell, War in Heaven, et All Hallows' Eve. Romans difficiles, dont l'économie tourne autour de la duelle problématique de la Ville et de la Cité, l'une occultant l'autre pour mieux l'appeler, la faire exister comme entité virtuelle, et la convoquer comme illustration de thèses que l'auteur développe dans de nombreux articles et qui relèvent d'une orientation lointainement théologique. Il sera important de montrer comment dans chaque roman la dynamique narrative naît de cette opposition entre la ville des hommes et la Cité de Dieu, et dans quelle mesure est efficace, ou simplement acceptable dans un univers fictionnel, cette tacite référence à St Augustin. |
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ISSN: | 1278-3331 2427-0466 |